NOM : HAYEM
PRENOM : Judith
Adresse Professionnelle :
CLERSE – SH2
Université LIlle 1
59655 Villeneuve d’Ascq Cedex

Mail : judith.hayem_AT_ univ-lille1.fr

Fonction actuelle  et diplôme :

MCF en anthropologie Université Lille 1, docteure en Anthropologie Université Paris 8.

Thèmes de recherche / Mots clés :

  • Afrique du Sud.
  • Formes d’engagements, de représentations et de pensée des générations post-apartheid.
  • Formes de pensée, de mobilisation et d’organisation des ouvriers.
  • Etat, modes de gouvernement, politiques étatiques et mobilisations populaires.
  • Santé au travail : mobilisations politiques autour de la santé et de la prévention du VIH/SIDA en milieu industriel.
  • Travail, milieux industriels et usine, politiques industrielles et formes de capitalisme.

Bibliographie succincte :

  • 2016, Raphaël Porteilla, Judith Hayem, Marianne Séverin, Pierre-Paul DIka (dir.) Afrique du Sud 20 ans de démocratie contrastée, l’Harmattan, Paris, 2016.
  • 2008, La figure ouvrière en Afrique du Sud après l’apartheid, IFAS-Karthala, Paris.
  • 2017, « Analyse de l’anthropologie, intelligence sensible de la littérature », Journal des anthropologues, n° 148-149.
  • 2016, « Des subjectivités politiques en Afrique du Sud » in « « Réparer les inégalités, penser la solidarité ou construire l’égalité ? », sous la dir. De Monique Selim et Bernard Castelli, l’Harmattan, Paris, 2016.
  • 2016, L’Etat sud-africain face à Marikana et Abahlali : la haine de la démocratie? De la nature des luttes et des réactions qu’elles suscitent.” in Raphaël Porteilla, Judith Hayem, Marianne Séverin, Pierre-Paul Dika (dir. ) Afrique du Sud 20 ans de démocratie contrastée, l’Harmattan, Paris, 2016, pp. 213-236.
  • 2016, « Marikana: analysing miners subjectivity and the crisis of representation », Journal of Asian and African Studies, volume 51, n°2, pp. 171-185.
  • Janvier-Mars 2014, « Chœurs de fondeurs : interpellations créatives et mises en mémoire », Travail et Emploi, numéro thématique « Une crise sans précédent ? Expériences et contestations des restructurations », n° 137, pp.105-122.
  • 2013, « Glissement amoureux et glissement politique dans le face-à-face avec la xénophobie » in « Se faire violence » : analyse anthropologique des coulisses de la recherche » sous la dir. de A. Benveniste, Téraèdre, Paris, pp. 63-87.
  • Mars 2013, “From May 2008 to 2011: xenophobic violence and national subjectivity in South Africa”, Journal of Southern African Studies, 39:1, pp. 77-97.

Lien :

Université Lille 1